L’inflation mondiale a fortement ralenti au cours des deux dernières années et se rapproche désormais de 2 %. Toutefois, la trajectoire de la désinflation a été inégale entre les pays et les régions, la plupart des marchés développés ayant dû subir des ralentissements induits par la politique monétaire pour y parvenir. Les États-Unis font figure d’exception, ayant connu une accélération de la croissance économique et une situation de plein emploi sans effet perceptible de la politique monétaire restrictive.
Les États-Unis ont-ils accompli un atterrissage en douceur? Ou l’incidence des taux d’intérêt élevés finira-t-elle par entraîner un atterrissage brutal? Ces questions ont dominé le marché au cours des deux dernières années, l’accent étant mis sur la capacité de la Réserve fédérale américaine (la « Fed ») à synchroniser parfaitement le cycle de réduction des taux pour parvenir à une désinflation sans douleur.
Pourtant, l’accent mis sur l’« atterrissage » n’explique peut-être pas entièrement la combinaison de croissance exceptionnellement forte et de baisse de l’inflation à laquelle nous avons assisté aux États-Unis. Les forces qui l’expliquent laissent entrevoir un nouveau scénario pour l’économie et les marchés.
Dans nos perspectives pour 2025, nous adoptons un cadre axé sur les forces de l’offre qui ont façonné l’économie américaine. Il s’agit notamment d’une hausse de la productivité de la main-d’œuvre et de l’offre de main-d’œuvre. Les forces de l’offre expliquent mieux la dynamique positive de la croissance et de l’inflation. Les risques émergents, comme ceux liés aux politiques d’immigration, à la situation géopolitique ou aux droits de douane potentiels, entrent également plus naturellement dans ce cadre axé sur l’offre.
Pays/région | Vanguard 2025 | Tendance |
Canada | 1.7% | 2.1% |
États-Unis | 2.1% | 2.7% |
Zone euro | 0.5% | 1.2% |
Royaume-Uni | 1.4% | 1.2% |
Chine | 4.5% | 4.2% |
Japon | 1.2% | 1.0% |
Pays/région | Vanguard 2025 | TCIS |
Canada | 6.8% | 5.8% - 6.3% |
États-Unis | 4.4% | 4.5% |
Zone euro | 6.9% | 6.5%- 7% |
Royaume-Uni | 4.4% | 4% - 4.5% |
Chine | 5.1% | 5% |
Japon | 2.4% | 2.5% - 3% |
Pays/région | Vanguard 2025 |
Canada | 2.2% |
États-Unis | 2.5% |
Zone euro | 1.9% |
Royaume-Uni | 2.4% |
Chine | 1.5% |
Japon | 2.1% |
Pays/région | Fin de 2024 | Fin de 2025 | Taux neutre |
Canada | 3.5% | 2.5% | 2.25% - 3.25% |
États-Unis | 4.5% | 4.0% | 3.5% |
Zone euro | 3% | 1.75% | 2% - 2.5% |
Royaume-Uni | 4.75% | 3.75% | 3% - 3.5% |
Chine | 1.4% | 1.2% | 4.5% - 5% |
Japon | 0.5% | 1.0% | 0% |
Remarques : Les prévisions sont en date du 12 novembre 2024. Aux États-Unis, la croissance du PIB est définie comme la variation sur 12 mois du PIB au quatrième trimestre. Pour les autres pays ou régions, la croissance du PIB est définie comme la variation annuelle du PIB total au cours de l’année de prévision par rapport à l’année précédente. Les prévisions de taux de chômage sont la moyenne pour le quatrième trimestre de 2025. Le TCIS est le taux de chômage à inflation stationnaire, qui reflète l’équilibre du marché du travail. L’inflation de base exclut les prix des aliments et de l’énergie en raison de leur volatilité. Pour les États-Unis, la zone euro, le Royaume-Uni et le Japon, l’inflation de base est définie comme la variation sur 12 mois au quatrième trimestre par rapport à l’année précédente. Pour la Chine, l’inflation de base est définie comme la variation annuelle moyenne par rapport à l’année précédente. Aux États-Unis, l’inflation de base est fondée sur l’indice de base des dépenses personnelles de consommation. Pour tous les autres pays et régions, l’inflation de base est fondée sur l’indice des prix à la consommation de base. Pour ce qui est de la politique monétaire américaine, les prévisions de Vanguard se rapportent à l’extrémité supérieure de la fourchette cible du Federal Open Market Committee. Le taux directeur de la Chine est le taux des prises de pension sur sept jours. Le taux neutre est le taux directeur d’équilibre, en vertu duquel aucune pression d’assouplissement ou de resserrement n’est exercée sur l’économie ou les marchés financiers.
Source : Vanguard.
Dans un contexte de politique monétaire restrictive, l’économie américaine a profité d’une combinaison favorable de forte croissance du PIB réel, d’assouplissement des tensions sur les marchés de l’emploi et de baisse de l’inflation. Il pourrait être tentant d’attribuer cette chance à un « atterrissage en douceur » orchestré par la Fed. Toutefois, un examen plus approfondi donne à penser que cette interprétation n’est pas suffisante.
La robustesse persistante des États-Unis pourrait plutôt être attribuable à des facteurs fortuits liés à l’offre, notamment une croissance plus forte de la productivité et une hausse de la main-d’œuvre disponible. Une production élevée et une inflation plus faible ne peuvent généralement coexister que lorsque les forces de l’offre sont aux commandes. Cette dynamique a modifié nos perspectives économiques de base pour les États-Unis et laisse entrevoir les principaux risques à l’horizon.
Bien que ces facteurs de croissance positifs liés à l’offre puissent se poursuivre en 2025, les risques émergents liés aux politiques, comme la mise en œuvre de droits de douane et le resserrement des politiques d’immigration, pourraient neutraliser les gains. Dans un tel scénario, la croissance du PIB réel des États-Unis passerait de son taux actuel d’environ 3 % à un taux plus proche de 2 %. Ces risques compensatoires liés aux politiques pourraient également accroître les pressions inflationnistes. Par conséquent, nous prévoyons que l’inflation de base restera supérieure à 2,5 % pendant la majeure partie de 2025. Même si nous nous attendons à ce que la Fed abaisse son taux directeur à 4 %, des réductions au-delà de ce taux s’avéreraient difficiles, car tout affaiblissement de la croissance nécessiterait d’être contrebalancé par une éventuelle reprise de l’inflation.
Les économies autres que celle des États-Unis ont eu moins de chance du côté de l’offre, et n’ont dons pas été en mesure d’obtenir la même combinaison de forte croissance et de réduction importante de l’inflation. Bien que l’inflation soit désormais près de sa cible dans la zone euro, cela s’est fait au prix d’une stagnation en 2023 et 2024, la faible demande extérieure, la baisse de la productivité et les effets persistants de la crise énergétique ayant freiné l’activité. La croissance devrait rester inférieure à la tendance l’an prochain, car le ralentissement des échanges mondiaux représente un risque important. On s’attend à ce que la Banque centrale européenne abaisse les taux en deçà du taux neutre, à 1,75 %, d’ici la fin de 2025.
En Chine, les décideurs ont encore du pain sur la planche, malgré leur changement de politique coordonné à la fin de 2024. La croissance devrait s’accélérer au cours des prochains trimestres, à mesure que les conditions de financement s’assoupliront et que les mesures de relance budgétaire entreront en vigueur. Toutefois, des mesures plus décisives et plus musclées sont nécessaires pour surmonter l’intensification des difficultés externes, les problèmes structurels dans le secteur immobilier et la fragilité de la confiance des ménages et des entreprises. À long terme, nous demeurons moins optimistes que le consensus à l’égard de la croissance chinoise, et nous prévoyons donc un nouvel assouplissement monétaire et budgétaire en 2025.
Même si les banques centrales assouplissent actuellement leur politique monétaire, nous demeurons d’avis que les taux directeurs se stabiliseront à des niveaux plus élevés que dans les années 2010. Ce contexte est propice à de solides rendements pour les liquidités et des titres à revenu fixe au cours de la prochaine décennie, mais les perspectives quant aux actions sont plus prudentes. Ce thème structurel reste valable même dans un scénario où les banques centrales abaissent brièvement les taux en deçà du taux neutre pour atténuer les fluctuations temporaires de la croissance. L’ère des valeurs sûres, caractérisée par des taux d’intérêt réels positifs, se poursuit.
Le défi en matière de placement est la tension croissante entre la vigueur et la surévaluation des actifs à risque. Les actifs dont les paramètres fondamentaux sont les plus solides présentent les valorisations relatives les plus élevées, et vice versa. Les risques économiques et politiques pour 2025 aideront à déterminer si le momentum ou les valorisations domineront les rendements des placements au cours de la prochaine année.
La hausse des taux de départ a grandement amélioré le rapport risque-rendement des titres à revenu fixe. Les obligations sont toujours de retour. Au cours de la prochaine décennie, nous prévoyons des rendements annualisés couverts en dollars canadiens de 3,2 % à 4,2 % pour les obligations américaines et de 3,1 % à 4,1 % pour les obligations mondiales hors États-Unis. Ce point de vue reflète une normalisation graduelle des taux directeurs et des courbes de taux, même si d’importants risques subsistent à court terme.
Nous croyons que les taux sur l’ensemble de la courbe devraient rester au-dessus de 4 % aux États-Unis. Un scénario dans lequel les facteurs favorables générés par l’offre persistent soutiendra la croissance tendancielle et donc les taux réels. Par ailleurs, les risques émergents liés aux échanges mondiaux et aux politiques d’immigration maintiendraient également les taux à des niveaux élevés en raison de la hausse des attentes d’inflation. Ces risques doivent être équilibrés avec la possibilité qu’un choc de croissance, et tout assouplissement monétaire ou « ruée vers les valeurs refuges » qui en résulterait, entraîne une baisse significative des taux par rapport aux niveaux actuels.
Des taux de départ plus élevés, qui supposent un « mur de coupons », signifient que les rendements obligataires futurs sont moins exposés aux hausses modestes des taux. En fait, pour les investisseurs disposant d’un horizon de placement leur permettant de récupérer les versements de coupons, une nouvelle hausse des taux d’intérêt améliorerait leur rendement total malgré quelques difficultés à court terme. Nous continuons de croire que les titres à revenu fixe jouent un rôle important dans la stabilité des portefeuilles à long terme. Le principal risque de baisse pour les obligations concerne également les actions, à savoir une hausse des taux à long terme en raison de la poursuite des dépenses liées au déficit budgétaire ou de la disparition de l’effet positif de l’offre. Ce sont ces dynamiques que nous suivons de très près.
Les actions américaines ont en général produit de solides rendements au cours des dernières années. L’année 2024 ne fait pas exception, la croissance des bénéfices et les ratios cours/bénéfice ayant dépassé les attentes. Les investisseurs doivent se poser la question suivante : « À quoi peut-on s’attendre? ».
À notre avis, les valorisations aux États-Unis sont élevées, mais pas aussi élevées que le laissent entendre les paramètres traditionnels. Malgré la hausse des taux d’intérêt, de nombreuses grandes sociétés se sont mises à l’abri du resserrement de la politique monétaire en négociant de faibles coûts de financement à l’avance. Plus important encore, le marché se concentre de plus en plus dans les secteurs axés sur la croissance, comme les technologies, qui soutiennent la hausse des valorisations.
Néanmoins, la probabilité que nous soyons au milieu d’un boom de la productivité favorable aux valorisations, comme au milieu des années 1990, doit être contrebalancée par la possibilité que le contexte actuel soit plus semblable à celui de 1999. Dans le second scénario, une évolution économique négative pourrait mettre en évidence la vulnérabilité des valorisations boursières actuelles.
Bien que la médiane de nos perspectives de rendement aux États-Unis pour la prochaine décennie semble prudente (1,6 % à 3,6 %), l’éventail des issues possibles est large et les valorisations sont rarement un bon outil d’anticipation du marché. En fin de compte, des valorisations de départ élevées feront baisser les rendements à long terme. Toutefois, l’histoire montre que, en l’absence d’un choc économique ou de la croissance des bénéfices, les rendements du marché boursier américain peuvent continuer de défier le poids des valorisations à court terme.
Les valorisations des marchés boursiers autres qu’américains sont plus intéressantes. Nous pensons que cela pourrait se poursuivre, car ces économies sont probablement les plus exposées à l’accroissement des risques économiques et politiques à l’échelle mondiale. Les différences entre les ratios cours/bénéfices à long terme sont le principal facteur de rendement relatif sur plus de cinq ans. Au cours de la prochaine décennie, nous nous attendons à ce que les actions des marchés développés hors États-Unis et des marchés émergents dégagent des rendements respectifs de 6,0 % à 8,0 % et de 4,0 % à 6,0 %. Toutefois, la croissance économique et les bénéfices sont plus importants à court terme. Au cours des dernières années, la croissance obstinément décevante des économies et des bénéfices à l’extérieur des États-Unis a fait en sorte que les rendements des actions mondiales hors États-Unis ont été modérés par rapport au rendement remarquable du marché américain. Au sein des marchés émergents, la Chine est la seule raison pour laquelle les valorisations sont inférieures à la juste valeur, mais les risques d’une intensification des tensions commerciales et de mesures de relance budgétaire insuffisantes en Chine constituent des obstacles supplémentaires.
IMPORTANT : Les projections et les autres données générées par le VCMM en ce qui concerne la vraisemblance des résultats de placements divers sont de nature purement hypothétique; de plus, elles ne reflètent aucunement des résultats de placement réels et ne sauraient garantir les résultats futurs. La distribution du rendement calculé par le VCMM est tirée de 10 000 simulations effectuées pour chaque catégorie d’actif modélisée. Les simulations sont en date du 8 novembre 2024. Les résultats tirés du modèle peuvent varier à chaque utilisation et dans le temps. Pour en savoir plus, veuillez consulter la section des Remarques.
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Le Vanguard Capital Markets Model® est un outil de simulation financière exclusif qui a été conçu et est mis à jour par l’Investment Strategy Group de Vanguard [les équipes Primary Investment Research and Advice de Vanguard]. Le modèle effectue des prévisions de distributions des rendements futurs d’une vaste gamme de catégories d’actif. Ces catégories comprennent les marchés boursiers américains et internationaux, ceux des obligations du Trésor américain et des titres à revenu fixe de sociétés comportant diverses échéances, les marchés des titres à revenu fixe internationaux, les marchés monétaires américains, les produits de base et certaines stratégies de placement non traditionnelles. Le VCMM est fondé sur l’opinion théorique et empirique voulant que le rendement de diverses catégories d’actif reflète le revenu que les investisseurs exigent pour courir divers types de risque systématique (bêta). À la base, le VCMM repose sur des estimations du lien statistique dynamique entre les facteurs de risque et le rendement des actifs, estimations qui sont calculées en fonction d’analyses statistiques basées sur des données financières et économiques mensuelles remontant à 1960. En ayant recours à un système d’équations estimatives, le modèle applique une technique de simulation de Monte-Carlo pour projeter des relations estimatives entre les facteurs de risque et les catégories d’actif ainsi que le caractère incertain et aléatoire dans le temps. Le modèle produit un grand nombre de résultats simulés pour chaque catégorie d’actif, et ce, sur plusieurs périodes. On obtient les projections en calculant les mesures de tendance centrale issues de ces simulations. Les résultats produits par le modèle varieront à chaque utilisation et dans le temps.
Date de publication : novembre 2025
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