Tous les points de vue

Nous présentons aux investisseurs une certaine perspective à la suite de l’annonce du 2 avril concernant les opérations aux États-Unis.

Le stratège principal en placements de Vanguard Canada fait le point sur les retombées des droits de douane sur l’économie canadienne, et fait quelques recommandations aux conseillers financiers.

Les investisseurs sont inquiets. Pour comprendre la volatilité qui caractérise la période actuelle, il peut être utile de jeter un coup d’œil sur le passé. Ce recul permet de constater que la volatilité n’est ni unidirectionnelle ni constante dans son ampleur, et qu’elle ne découle pas non plus toujours du même type de risque.

Les tarifs en suspens pourraient signifier un plus grand risque sur les marchés, mais aussi des opportunités, selon le président et le CIO de Vanguard.

Compte tenu de la perspective de l’application de nouveaux droits de douane par les États-Unis et ses partenaires commerciaux, nous avons demandé à Kevin Khang, économiste international principal de Vanguard, de nous faire part de son point de vue sur les répercussions potentielles de ces droits de douane sur les secteurs, les économies et les marchés financiers.

Lorsque nous réfléchissons aux rendements des placements pour 2024, il est clair que l’année a produit de solides rendements pour les investisseurs diversifiés et équilibrés qui ont été en mesure d’ignorer les perturbations.

Après que l’un des cycles de hausses de taux les plus énergiques de l’histoire a contribué à ramener l’inflation plus près de la cible de la Banque du Canada (BdC), cette dernière s’est recentrée sur la croissance, ce qui a conduit à un début d’assouplissement de la politique monétaire.

Le sommaire des perspectives mondiales présente les grandes conclusions de Vanguard quant à l’ensemble des perspectives sur l’économie et les marchés, Au-delà de l’atterrissage, qui seront publiées à la mi-décembre.

L’histoire montre que les investisseurs ne devraient pas s’inquiéter à l’idée de connaître des différences importantes de rendement au gré des changements d’administrations. Depuis 1860, un portefeuille composé à 60 % d’actions et à 40 % de titres à revenu fixe a produit un rendement annuel composé de 8,1 % au cours des années où un président républicain était au pouvoir tandis qu’il a généré un rendement de 7,8 % au cours des années où il s’agissait d’un président démocrate.

Alors que l’année 2024 tire à sa fin, de nouvelles réductions des taux et une croissance inférieure à la tendance semblent fort possibles pour l’économie canadienne pour 2025.

La mise en œuvre d’une stratégie est souvent présentée comme un choix dépendant de l’étiquette accolée au fonds, à savoir « gestion active » ou « indiciel ». Je crois qu’il est plus important que les investisseurs prennent en considération les caractéristiques sous-jacentes à ces étiquettes.

Dans la présente étude, nous présentons trois aspects des liquidités qui s’harmonisent généralement avec les objectifs des investisseurs : les rendements, la relation avec l’inflation et les niveaux de volatilité. Nous partageons également notre cadre pour encourager les investisseurs à envisager les liquidités dans leur planification financière et leur répartition stratégique de l’actif.